Je suis diplômée de l'ESLR depuis juin 2015 et auto-entrepreneur sophrologue depuis octobre.
Avec un "petit" recul de 6 mois d'activité, je souhaitais écrire ce témoignage.
La force de l'école, outre la bonne ambiance qui y règne et ses sympathiques formateurs, tient dans la qualité des enseignements fournis (pratiques & théoriques).
En effet, que ce soit lors de mes séances ou en échangeant avec des sophrologues issus d'autres écoles, je constate tous les jours que l'ESLR m'a bien préparée au "grand saut".
Elle m'a appris les fondamentaux de la méthode, issus des enseignements de son fondateur, Alphonso Caycedo.
Charge ensuite à chaque élève devenu sophrologue de s'approprier, adapter les différents exercices et techniques ou se spécialiser dans un domaine bien spécifique.
Les bases sont là...et ce, jusqu'au 4ème degré ! Quand on prépare une séance, on sait où on va, qu'est-ce qu'on fait et pourquoi on le fait !

Muriel Ribeyrolle, Sophrologue et hypnothérapeute, Clermont-Ferrand

 

 

L'école d’influence "caycédienne", fondée en 1980 par le docteur jacques RAYNAL, bénéficie d'une bonne réputation au niveau régional. L'existence d'un groupe, le GRAMPS, qui se réunit tous les mois et qui organise un séminaire tous les ans permet de maintenir le lien après la formation et de continuer à se développer, ce qui est appréciable et rare. Les écoles restent souvent dans leur seul rôle de formation initiale. Je me suis enfin reconnu dans le système de valeurs de l'école: un nombre de stagiaires limité, un esprit convivial et humain et une approche largement consacrée à la pratique en de la théorie

 

Philippe Guitton, Sophrologue et psychologue, Parthenay

 

 

J'ai eu le bonheur de pouvoir et de vouloir animer des ateliers, tout au long de cette formation où j'ai pu observer que, quel que soit le type de séance, le sophrologue doit s'adapter à son public et établir l'alliance cette relation particulière entre le sophrologue et le participant. Il ne faut pas oublier, en groupe ou en individuel, que l'on est toujours dans une relation sujet à sujet c'est à dire dans l'égalité. Il s'agit également dans les deux cas de bien expliquer les objectifs à atteindre et d'arriver au cours des différentes séances à ce que le participant s’approprie les techniques pour s'en servir seul, allant ainsi vers l'autonomie.

Cette formation aura été l'occasion d'un très grand enrichissement personnel avec l'acquisition d'outils dont je peux me servir chaque jour.

 

Stéphanie Berusseau, Sophrologue, Poitiers

 

 

Si Jean-Luc est un généraliste sophrologue spécialisé dans l’accouchement et Brigitte une spécialiste de l’éveil avec une approche ludique en son domaine. Tous les deux experts. L'alchimie qui en résulte, génère un big-bang qui se révèle phénoménal, comme un mouvement perpétuel dans l’écoute des autres et de la mère nature

Et ayant sous les yeux cette Alliance de la lune et du soleil,

A Brigitte pour ce flux et ce reflux, cette marée énergisante,

A Jean-Luc pour cette la force ressentie au cours de cette révolution dans la simplicité réductive qui l’anime et qu’il partage.

Au groupe, source de richesse, évidente, et, sans lequel je n’aurais pu, comprendre les différentes règles découvertes

Merci !

 

Patrice Cassini, sophrologue, Andilly

 

 

Je remercie mes professeurs, Brigitte et Jean Luc pour leur enseignement riche, complet et d'une grande rigueur malgré les « on s'en fou ».

Je les remercie de savoir si bien transmettre cette discipline avec autant d'investissement de force et de conviction.

 

Dany Baron, sophrologue, Portugal

 

 

Pour conclure mes deux années de formation, je dirais que la sophrologie n’est pas une baguette magique, ni un fourre-tout… Pour moi, en tant que jeune sophrologue, « le sujet / l’humain », l’alliance, les mots, la confiance sont primordiaux pour créer une bulle bienveillante, consciente et constructive.

En effet, au-delà de la technicité (exercices sophrologiques), l’accompagnement d’une personne n’est jamais neutre. Je dois avoir conscience de moi-même afin d’éviter des émotions qui pourraient me submerger… Bien connaître mes limites !

Une des grandes qualités également : l’écoute active sans jugement.

Une suspension de mon jugement par l’approche phénoménologique.

Je me sens investi d’une grande responsabilité car la sophrologie peut faire venir des émotions, peut faire prendre conscience de « choses »

 

Sylvain Draux, sophrologue, Royan

 

 

Voici ce que je garde.....

-la « cérémonie » du kafa

-la soirée sur les EMI

-la pièce de théâtre des 2èmes années sur les profils des clients

-la chute improbable de Jean Luc sous la table

-la séance de Brigitte enchaînant les 4 degrés et leurs postures

-les grandes tablées où les rires étaient souvent présents

-les mises en situation pour la profession de sophrologue

-le fou rire interminable au cours d'une séance

-le passage sous l'immense toile multicolore

-l'initiation à la méthode Vitoz

-la toile d’araignée avec la grosse pelote de laine

-la petite annonce personnelle (non préméditée) avec les lettres de mon prénom

 Et ce n'est pas tout!......

-je suis devenue une statue

-je me suis fait massée en musique

-j'ai parlé des langues incompréhensibles

-j'ai flirté avec la nature, enlacé des arbres, regardé le soleil se coucher

-j'ai pleuré, ri, chanté, dansé, mimé, rampé, marché à quatre pattes

-j'ai vécu intensément une séance musicale

-j'ai dansé le hip hop et trouvé cela formidable

-j'ai fait de la transe

-j'ai vu des nuages par terre dans un miroir de poche

-j'ai goûté des plats et gâteaux maisons

-j'ai servi de cobaye à Cynthia pour une séance, pour qu'elle puisse enfin dormir

-j'ai participé à un groupe d'insultes en tout genre, juste pour rire

-j'ai pu être une super héroïne super puissante.

 

Katia Renaud, sophrologue, Rochefort